Plan de l'article
Il prend des décisions politiques qui ne sont pas liées à la productivité
Le mauvais manager manipule, profitant des situations pour faire avancer sa position au sein de l'entreprise. Elle utilise les résultats de ses employés performants pour sa propre promotion. Outre ses propres intérêts, qu'il privilégie, il favorise la situation des alliés ou des amis, ou des protégés de sa hiérarchie. Convaincu que les membres de son équipe adorent son « cinéma » et ses blagues, il pense à sa carrière, et en utilise d'autres. Personne ne respecte un patron aussi narcissique et léger, incohérent dans sa prise de décision qui dépend de son intérêt pour le moment. Le bon manager à prendre au sérieux par ses employés est un leader constant dans ses décisions et ses actions, et pratique un système de gestion structuré et équitable, conforme à la stratégie et aux résultats de l'entreprise. Gestionnaire de lecture associé dans le style chinois selon les 5 cycles
Il communique unilatéralement
Le pauvre gestionnaire délègue simplement l'exécution des tâches à accomplir, et s'isole de ses employés sans les aider à réussir leur travail. Négliger tout feedback ou feedback nuit à la dynamique du groupe. Les gestionnaires efficaces favorisent une communication bidirectionnelle avec leurs employés. En communiquant bien, il assure la transmission des messages et des retours d'information entre les collaborateurs, il prend le temps d'écouter son équipe, leur pose des questions et pratique ce qu'on appelle l'écoute active. Lecture connexe L'art de poser des questions, une compétence cruciale pour le manager
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Les employés se plaignent de plus en plus
Les plaintes, les critiques voilées s'accumulent sur le bureau des ressources humaines, et plus grave, elles sont toujours plus ou moins les mêmes, tout en venant de personnes différentes. De manière générale, il est nécessaire qu'une grande insatisfaction envahit les esprits pour que les gens décident de contacter les Ressources Humaines. Les émotions négatives d'un groupe pèsent sur la cohésion. C'est souvent le signe de l'intempérance d'un manager qui se manifeste par des remarques désobligeantes, un changement d'humeur ou un manque de respect. Ces griefs doivent être pris au sérieux et déclencher des recherches approfondies. Le bon manager assume la direction et les conseils de son équipe, il doit donc désamorcer toute situation conflictuelle avec calme et enthousiasme pour motiver son équipe à aller de l'avant.
Il abusait de son pouvoir
Le gestionnaire est investi de nombreux pouvoirs : former, conseiller, superviser, appliquer des directives et des valeurs, encourager et sanctionner... S'il en abuse, la situation peut rapidement se détériorer et un service finira par être désorganisé, démotivé. Le dangereux manager fixe des objectifs irréalistes pour ses employés, change d'avis selon son humeur, revient à une liberté accordée, impose des conditions de travail discriminantes se rendant ainsi peu crédible en tant que gestionnaire. C'est au responsable de faire preuve d'équité, de donner l'exemple et appliquer à lui-même les règles de comportement qu'il exige des autres, il veille à ce que, sous son autorité, tout le monde soit traité équitablement et interdit toute préférence au profit d'une gestion juste et durable. Gestionnaire de lecture connexe : L'art de trouver des excuses quand vous en avez besoin
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Il blâme les autres pour les échecs de son département
Vous savez tout de suite que vous avez affaire à un mauvais manager quand il s'attribue le mérite du succès de son équipe et qu'il a les critiques rapportées aux autres quand les résultats sont pires. Quiconque est à la tête d'une équipe doit suivre un plan d'action impeccable en toutes circonstances. Il suppose des résultats individuels et collectifs et ne met jamais la responsabilité des échecs sur les autres. Le mauvais manager est ingrat. Si les résultats des ventes ne répondent pas à l'objectif fixé, il en attribue la responsabilité à ses employés, oubliant qu'il les a recrutés, formés, motivés. Se défaire de votre équipe correspond simplement à une évasion de vos responsabilités, et les mauvais résultats reflètent fidèlement la qualité de votre gestion. Le bon manager se blâme pour un échec et la sous-performance de ces employés. Lecture connexe Le « New Minute Manager » de Ken Blanchard et Spencer Johnson